Le congrès national 2009 – Dinan

Au Congrès national de la FNPC, nous retrouvons avec plaisir nos homologues secouristes, mais c’est surtout l’occasion de mieux connaître notre fédération et ses orientations de travail, au travers des exposés et des thèmes abordés, de découvrir de nouvelles ADPC et leurs actions remarquables, puis d’échanger sur nos difficultés dans le cadre de nos missions.
Cette année, l’ ADPC 22 qui fêtait par la même occasion ses 50 ans nous accueillait dans la belle ville de Dinan. Dans toutes les rues, on y croisait des véhicules siglés en orange et bleu. Impressionnant !
Le 17 ème Congrès était placé sous le signe de « L’esprit Protection Civile : Identité, Ethique et valeurs ». Sujet vaste, à méditer  !
Le thème de travail était, vous l’auriez deviné : « La Pandémie Grippale »
Pourtant, cette année, les temps forts ne se sont pas déroulés dans les auditoriums, le plus important pour l’avenir de la FNPC, c’était la « Soirée de Gala ».
En effet, c’est lors d’un repas convivial, et entouré de tous ses amis secouristes, que le Professeur Louis LARENG, a choisi d’annoncer sa décision de quitter la Présidence Nationale. S’en est suivie la plus longue et vibrante ovation que je connaisse. Comment exprimer en quelques mots, l’intensité de notre émotion : 550 secouristes, tous les larmes aux yeux en écoutant le Professeur entonner une chanson basque. Emouvant, Grandiose, Inoubliable ! Nous étions face à un très grand homme, tellement humble, tellement proche de nous.
Professeur, grâce à votre ténacité, à votre compétence, à votre avant-gardisme, vous avez obtenu une vraie Reconnaissance des pouvoirs publics : «  L’agrément de Sécurité Civile ».
Grâce à votre foi en notre association, vous avez hissée la FNPC à la hauteur des plus grandes associations de secours.
Alors, aujourd’hui, Professeur, MERCI, merci pour tout ce que vous avez apporté et apporterez encore à la Protection Civile.
Et, pour mieux vous remercier, nous nous devons d’être nombreux à suivre vos traces sur le chemin que vous avez su nous ouvrir.
Et, comme vous savez si bien le dire avec votre accent du Béarn, Professeur :
« VIVE LA PROTECTION CIVILE ! … »